Ah, les gâteaux Yes… Ces petites douceurs ont bercé bien des enfances, et pourtant, elles ont fini par disparaître de nos rayons ! Laissez-moi vous raconter leur histoire mouvementée.
L’histoire des gâteaux Yes
Les gâteaux Yes, c’était tout un symbole dans les années 80. Ils étaient ces fameuses barres chocolatées remplies de crème qui ont fait fureur à l’époque. Vous savez, ceux qu’on apportait à l’école pendant la récréation ? Pourtant, malgré leur popularité, ils ont subitement disparu des supermarchés français en 1998 ([1], [2], [4]).
Mais pourquoi ont-ils disparu ?
La raison principale semble être une décision commerciale. Les fabricants ont choisi de retirer le produit du marché français, probablement en raison de changements dans les stratégies de vente ou d’une baisse de popularité qui n’a pas été compensée par les ventes ([2]). Pourtant, en Allemagne, les consommateurs ont toujours été friands de ces gâteaux. Tellement, que ces derniers ont été réintroduits là-bas dès 2011 ([1]).
Retour des gâteaux Yes
Après leur disparition en 1998, et une longue absence qui a causé beaucoup de nostalgie parmi les gourmands français, il a fallu attendre jusqu’en 2013 pour que les gâteaux Yes refassent brièvement surface dans les rayons français ([4]). Toutefois, ce retour n’a pas semblé perdurer, contrastant avec le succès constant qu’ils rencontrent en Allemagne.
Alors, où en sommes-nous aujourd’hui ?
Actuellement, les gâteaux Yes continuent leur petit bout de chemin en Allemagne, où ils semblent rester plébiscités par une clientèle fidèle ([5]). En France, cependant, ils ne sont plus aussi aisément disponibles, à moins de faire un détour par nos voisins d’outre-Rhin ou de commander en ligne chez des revendeurs spécialisés qui, eux, chérissent la nostalgie comme aucun autre ([3]).
la disparition des gâteaux Yes des rayons français est liée à des choix de marché et à la dynamique des préférences des consommateurs. Heureusement, pour les aficionados de cette gourmandise, il reste toujours une chance de goûter à nouveau à ce fragment d’enfance en se tournant vers les offres allemandes. Voilà, une tranche de l’histoire du Yes… Telle qu’elle est construite !